Ils m'avaient laissé un message la semaine passée (ou l'autre d'avant !?) pour me dire qu'ils avaient reçu le petit dernier de la série Cobayes et m'en mettaient un exemplaire de côté. J'ai donc fait coïncider ma visite avec le 22 octobre, pour mettre aussi la main sur le dernier roman tant attendu de Patrick Senécal.
J'ai vraiment adoré la série Malphas et son humour noir, mais j'avais hâte de pouvoir me faire les dents sur une histoire plus obscure et qui vient nous bousculer, comme Hell.com, Les 7 jours du talion ou Le vide.
En passant, je me considère vraiment privilégié, car j'ai effectivement pu repartir avec mon exemplaire, alors que leurs boîtes de commande n'étaient même pas encore défaites et le livre pas encore mis en tablette. Mille mercis au personnel de la Librairie Marcel Wilkie, où j'achète mes livres depuis mon enfance.
J'aurais aimé pouvoir vous dire que je suis retourné à la maison me plonger illico dans mon dernier achat, comme un fan-fini pour pouvoir en parler dans mon post de la semaine prochaine, mais ce n'est pas tout à fait le cas… comme je l'ai déjà mentionné, j'ai aussi acheté Olivier de Yvan Godbout, le dernier volet (actuellement, car il en reste encore deux à venir) de la série Cobayes; et par une drôle de synchronicité, je suis justement en train de lire le 3ième tome de sa trilogie Les yeux jaunes. Faims attendra donc encore quelques jours sur ma table de chevet. :)
D'ici là, je vous laisse sur son résumé que je vous copie/colle directement du site des Éditions Alire.
Assassins, oui. Comme vous tous, comme tout le monde. Et hypocrites. Et lâches. Et envieux, débauchés, frustrés, égocentriques, vils, infâmes, assoiffés de pouvoir, d’argent et de luxure, couverts du vernis de la respectabilité pour mieux camoufler nos désirs qui nous rongent et nous tuent, dégoulinants de bonne conscience avec nos conjoints, nos enfants et notre boulot, et aveugles, volontairement et désespérément aveugles jusqu’à ce que la réalité nous crève les yeux et le coeur! Humains, depuis la caverne, depuis le serpent et sa pomme, humains jusqu’au bout de nos ongles de bêtes !
En ce second samedi de juillet, la trente-deuxième édition du Bal du Chien-Chaud bat son plein au parc Woodyatt et la journée est magnifique. Or, au même moment, le « Humanus Circus » arrive en ville avec ses quatre autocaravanes et ses trois fourgons tirés par des camionnettes.
Bientôt, plus rien ne sera tranquille…
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